Antwan arriva dans les tréfonds de l'enfer. L'endroit était désert, il n'y avait pas un chat aux alentours.
Il installa donc la petite fillette sur un des rochers qui parsemaient le sol, le plus confortable qu'il pu trouver et la coucha dessus. Cette gamine avait vraiment le sommeil très profond ! Ils avait parcourus une distance phénoménale à pieds et les secousses provoquée par les pas d'Antwan ne l'avait même pas réveillée. Si ça s'trouve une météorite ne le ferai même pas quitter le monde des rêves.
D'un sens c'était mieux comme ça, elle ne verrais pas le décor lugubre des enfers qui n'ai disons pas très accueillant pour une petite de cet âge.
Antwan la contemplait en attendant l'arrivée de ses supérieurs. Elle est était vraiment de toute beauté ! Une clarté ressortait d'elle tellement elle semblait pure et inoffensive. Ses petites bouclettes blondes tombèrent sur son visage et lui recouvrirent ses paupières, il s'avança donc pour remettre en place ses cheveux.
C'est à cet instant que les "souverains" arrivèrent, ils n'aperçurent pas immédiatement la jeune Stanford qui était cachée par Antwan.
Tu est à l'heure, c'est déjà une bonne chose ! Elle est ici ?demanda l'un des trois démon.
Antwan fit un écart de coté pour laisser apparaître la jeune enfant endormie.
Vous n'allez pas lui faire du mal, hein ? C'est juste pour faire venir le reste de la famille... n'est ce pas ?
Évidemment !répondit Gremos avec un air sournois.
Antwan n'aimait pas ça ! Peut être n'aurait il pas dû accomplir cette tâche...
Mais à présent il était un peu trop tard pour regretter ce qu'il venait de faire.
Puisque nous n'avons plus qu'à attendre leur arrivée, je peut m'en occuper ?
Elle sera peut être plus rassurer puisque je suis assez jeune et que ...
NON ! Je te rappelle que ce n'est pas à toi de décider ! Elle ira dans la cage magique un point c'est tout ! Tu serai bien capable de la laisser sans surveillance ne serais-ce qu'une seconde, je ne veux pas courir ce risque. En plus la cage est protégée par un bouclier magique infranchissable dont seul les souverains connaissent la manière de l'ouvrir.